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| Après le match de base ball, toute la troupe s’est réuni au Remedy, le bar de Mit chan. Discutant comme à son habitude en anglais avec son frère, Maho lui fait part du talent de Koyuki en tant que chanteur. | |
| Cependant, celui-ci ayant visiblement jeté son dévolu sur Chiba, reste sceptique à l’idée de faire rentrer Koyuki dans le groupe. | |
| Depuis que Ryuusuke lui a prêté une guitare, Koyuki s’entraîne d’arrache pied pour sortir un son potable, mais ses débuts sont difficiles. C’est alors qu’il va recevoir une lettre de son cousin, un enfant prodige qui a le don de l’énerver. | |
Pour faire face à cette débauche de succès, Koyuki va s’inventer des talents de musicien, allant jusqu’à écrire qu’il a été le vainqueur d’un concours. Comme preuve, il va lui adjoindre une photo, mais n’ayant pas de cliché, il doit aller le prendre. |
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| Hélas sur la route un incident survient, ayant comme conséquence la destruction de la guitare. Suite à sa mésaventure avec la guitare, Koyuki tient à en informer Ryuusuke. Le résultat ne sera pas très heureux, il se fera violement congédier avec ordre de ne plus jamais revenir. | |
| Se promenant avec les restes de sa guitare,il va tombé nez-à-nez avec M. Saito qui lui offrira son aide pour la faire réparer. Ce dernier est fan de rock anglais et guitariste par la même occasion. Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, il se proposera pour devenir son prof de guitare en plus de celui de natation ! | |
| Pendant ce temps là, Ryuusuke accompagné de Chiba, Izumi, et Kayo se retrouvent de nouveau à un concert des Musicmen. Mais ce coup-ci, ils vont avoir droit à une surprise d’Eiji qui a réussi à s’attirer les faveur de Manabu. | |
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De son coté, Koyuki s’est laissé entraîner par Mr Saito et désormais il suit ses cours de manière assidue. Pour lui permettre de s’entraîner chez lui, il va lui prêter une imitation de la Gibson Les Paul. Très enthousiaste Koyuki se donnera même pour objectif de faire chanter Page, le peroquet de Mr Saito, dont la caractéristique est de chanter sur des morceaux parfaits, comme “ Follow me ” des Rocket Boy, un des groupes fétiche de son maître. |
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